Situé sur la route du circuit de Francorchamps et dominant le célèbre parcours, l’hôtel de la Source jouit d’une situation exceptionnelle: son architecture, conforme à la tradition des corps de fermes de la province de Liège, et sa localisation stratégique en font le lieu idéal pour un hôtel 4 étoiles.
Le projet consiste en la rénovation du bâtiment B1 de l’IMEP à Namur. Il s’agit principalement de la rénovation des classes de musiques (panneaux, portes et plafonds acoustiques, nouvelle peinture, nouvelles dalles de sol et nouveaux châssis), de la création d’une nouvelle petite salle de concert et de l’isolation des châssis de la chapelle.
Le projet consiste en la construction des bureaux, d’une salle d’exposition et d’un hall d’entretien pour la société Pauly élévateur à Chaineux. La construction se greffe sur un hall déjà existant. Le bâtiment se veut fonctionnel, sobre, et au showroom généreusement ouvert sur la voie publique. Spécialisée dans la vente, la location et la réparation d’engins de levage, le bâtiment répond parfaitement aux besoins de cette entreprise pionnière dans son domaine et en pleine expansion.
Rénovation et Extension de l’adminstration communale de Fléron afin de centraliser les services et le CPAS
Le garage a été imaginé de type « architecture industrielle ». Afin de minimiser son impact, et de créer des façades accueillantes, animées et attractives, un volume plus ouvert, plus coloré, regroupant les zones de convivialités, de vies, de bureaux, … a été adossé, côté espace public, contre le volume des garages.
Le projet de caserne comprend entre autre : une zone de lavage, une salle de fitness, un parcourt vita, une tour d’exercice (intégrant un mur d’escalade), un garage, un espace de convivialité, un réfectoire, un vaste espace modulable et polyvalent, des jardins suspendus, une zone administrative, des salles de formation, un patio, une zone « coin café », des bureaux, des zones de repos et les autres fonctions (administratives, opérationnelles, …).
Le projet consiste en la rénovation complète du terrain en gazon synthétique de l’infrastructure sportive d’Eupen.
Les travaux sont les suivants :
– Enlèvement et élimination du gazon synthétique existant, y compris les granulés de caoutchouc et le sable.
– Préparation du sous-sol pour la nouvelle surface.
– Pose d’un nouveau gazon synthétique avec tous ses composants (liège).
– Renouvellement du réseau de drainage.
– Inspection, réparation ou renouvellement des clôtures, barrières, mains courantes et cabines de joueurs.
– Extension des clôtures de réception de balles vers les propriétés voisines.
– Création d’un trottoir pavé autour du terrain.
– Acquisition de matériel de maintenance approprié.
L’amélioration de l’image extérieure et de la qualité des infrastructures sportives fût une priorité, tout en garantissant l’accessibilité aux personnes à mobilité réduite.
Le projet consiste en la reconversion de la friche industrielle. Le programme comprend un call center, des espaces de co-working, un data center, une salle de fitness, une salle multisport, une crèche, un restaurant et des parkings (intérieurs et extérieurs).
Le caractère et l’identité des lieux, dans son essence industrielle, sa sensation de liberté offerte par son plan libre, ses vues dégagées, sa luminosité, son traitement brut, sa cohérence volumétrique et son unicité de matière, sont conservés. Les interventions consistent à créer de nouvelles connexions entre les différents espaces dans la tridimensionnalité, et à réemballer les différents volumes pour remodeler l’image du lieu et assumer son statut d’entrée de ville.
Rénovation de l’école communale Maurice Heuse de Verviers
Le projet consiste en la construction d’un centre de remise en forme, d’un fitness et d’un wellness muni d’une piscine intérieure. Le site est implanté à Lontzen proche de la sortie d’autoroute d’Eupen. Le bâtiment est de style industriel, généreusement vitré, et habillé chaleureusement de touches de bois.
Suite aux inondations du mois de juillet 2021, l’école de l’Est, implantée au cœur du quartier de Pré-Javais, en bordure de la Vesdre, a été particulièrement touchée. Le sous-sol a été complètement inondé ainsi que l’ensemble des locaux du rez-de-chaussée, dans lesquels la hauteur d’eau a atteint 1m50.
Des travaux de rénovation ont été nécessaires pour assainir le bâtiment et rendre un cadre de vie et de travail aux élèves et enseignants. Cette rénovation lourde fut également l’occasion pour la ville de Verviers d’améliorer et de résoudre des désordres ponctuels de ce bâtiment datant du début du XIXème siècle. Elle permet de repenser l’utilisation de certains espaces et l’organisation générale du bâtiment, dans le cadre de l’enseignement Montessori et pour accueillir un enseignement plus inclusif.
AUPa a été chargé de la rénovation et mise en conformité des installations techniques de la piscine Saint-Servais près de Namur.
Pour ce faire, l’architecte a fait appel à l’expertise de CSD Ingénieurs Conseil SA.
Cette rénovation a permis de relooker tout le bâtiment intérieur comme extérieur et de remettre à neuf toutes les installations techniques (telles que le traitement au chlore). Elle est désormais également conforme aux normes énergétiques et est plus performante en énergie. La piscine possède également tous les accès PMR nécessaires.
Les travaux, exécutés par l’entreprise générale De Graeve SA, ont duré un an pour s’achever en août 2017.
Un mandat de la Ville de Namur (Bureau d’étude Bâtiment).
Dans le cadre de la prise de possession du site du Mardasson par les Américains fin 2020, l’ABMC s’est engagée à y réaliser divers travaux : nouveau musée, aménagements des abords, rénovation du bâtiment, …
La phase I des travaux étant finalisée (travaux d’entretien en 2019 dans le cadre des commémorations du 75ème anniversaire), la restauration du monument s’attèle désormais plus en profondeur à l’atrium et à la galerie couverte.
Les travaux de cette deuxième phase visent à restaurer les maçonneries de pierres calcaires, les gravures et dorures (contant le récit de guerre), ferronneries (listant les états et les compagnies), et les travaux de terre cuite (représentant les blasons des compagnies). Une réparation complète de l’étanchéité de toiture est également programmée.
Cette nouvelle étape est de nouveau pilotée par l’association AUPa-Kha.
Le projet consiste en la création d’un centre culturel pour la ville de Theux. Les interventions consistent à isoler les façades par l’extérieur, utiliser un bardage identique à La Marotte, créer de la signalisation via lettrage sur le vitrage, ouverture du pignon donnant sur le jardin, et création d’une nouvelle entrée.
Érigée aux alentours de 1615, la Chapelle Saint-Roch de Thimister se caractérise par un plan carré d’environ 5,10m x 5,25m. Sa hauteur atteint 8,03m jusqu’au sommet du clocheton et 8,71m jusqu’à la croix en fer forgé. Sa toiture principale, de type pavillon à brisis, est couverte d’ardoises.
À l’origine, l’entrée de la Chapelle était orientée vers l’ancienne route qui passait devant. C’est pour cela que Chapelle semble tourner le dos à la rue Cavalier Fonck aujourd’hui. Cependant, le réaménagement du tracé de la voirie a conduit à la construction d’un contrefort en briques en 1847 afin de renforcer la stabilité du bâtiment. Deux ans plus tard, en 1849, un auvent à fronton triangulaire, soutenu par deux colonnes en fonte, a été ajouté sur la façade Est.La Chapelle et son auvent ont été classés comme Monument en 1934.
Des travaux de restauration ont été menés entre 2006 et 2008, portant sur la couverture et le rejointoiement des façades, suivis d’une restauration complète l’année suivante.
En 2016-2017, lors du remplacement de la voirie rue Cavalier Fonck, le passage d’une machine équipée d’un brise-béton a généré des vibrations qui ont impacté l’ensemble du site. Cet événement aurait contribué à l’aggravation des désordres structurels de la Chapelle.
Une analyse de la déformation des façades a été réalisée (voir plans d’architecture en annexe), révélant une dégradation progressive du bâtiment. Face au risque d’effondrement, un étaiement a été installé en 2019, puis renforcé après l’apparition de nouvelles fissures, confirmées par la pose de témoins en plâtre.
Des échanges avec les services du patrimoine ainsi qu’une étude menée par un bureau d’ingénieurs en stabilité ont permis d’identifier les interventions les plus appropriées, conciliant stabilisation structurelle et préservation du caractère historique et artistique de l’édifice.
L’objectif principal de cette demande est donc d’assurer la consolidation de la Chapelle tout en procédant à sa restauration, en conservant l’aspect actuel de sa déformation.
Le projet consiste en la rénovation d’une surface commerciale dans le centre de Verviers. Le magasin, au style résolument contemporain, présente un aspect chaleureux grâce au choix de couleurs et à l’intégration du bois. La vitrine généreusement vitrée baigne le commerce d’une douce lumière du nord. Un subtil jeu de volumes s’organise sur un double niveau. Le tout attire finement le client à rentrer dans ce bel équipement.
La philosophie du concept architectural est de suivre le terrain naturel afin de minimiser l’impact des constructions sur le cadre bâti et non bâti tout en créant des opportunités positives sur l’organisation du programme. Le projet s’implante dans un quartier résidentiel. L’implantation des voies d’accès en contre-bas des parcelles voisines, l’implantation des volumes et leur gabarit ainsi que le choix des matériaux (soubassements en béton architectonique, volumes supérieurs en crépi de tonalité claire et présence de bois pour l’aspect naturel et léger) participent à une bonne intégration du projet dans son environnement proche et immédiat. Le projet priviliégie l’optimisation des flux, ainsi que les apports en lumière naturelle.
Le projet consiste en la création de 8 salles de projection, d’une salle de réception, d’une brasserie, et des équipements y attenants. La capacité totale est de 1.500 places assises. Le volume est enterré dans sa quasi totalité pour éviter l’effet « boîte » dans l’environnement urbain. Un accès vertical permet une liaison directe avec le parking se situant en toiture.
Le projet consiste en la création d’une salle de spectacles, d’une zone d’exposition, de bureaux, et des équipements y attenants. Le volume est enterré dans sa quasi totalité pour éviter l’effet « boîte » dans l’environnement urbain. Un accès vertical permet une liaison directe avec le parking se situant en toiture.
Le projet consiste en la rénovation et la mise en conformité des installations techniques de la piscine de Verviers.
L’enjeu de ce projet vise à donner aux utilisateurs une nouvelle vision et une nouvelle expérience valorisante de leur piscine. Les espaces accueillant le public seront ainsi entièrement rénovés, et du point de vue du parcours intérieur, c’est avant tout l’accessibilité pour tous qui est visée. L’installation d’équipements modernes et novateurs (ventilation, éclairage, acoustique, panneaux photovoltaïques, …) permettra une économie importante des énergies avec une diminution de l’empreinte carbone.
La création de la cafétéria, nouveau volume extérieur, sobre et minimaliste, apporte sa touche de modernité à l’établissement. Véritable nouvelle offre pour les usagers, sa position dominante offrira des vues qualitatives, d’un côté vers les bassins, et de l’autre vers le Parc Fabiola, également réaménagé.
S’inscrivant dans le cadre du « Plan Piscine », cette rénovation permettra d’offrir une nouvelle image à ce bâtiment emblématique, s’intégrant dans le nouveau paysage urbain verviétois.
L’Asbl Le Thiniheid, située à Stembert, se dote d’une toute nouvelle enveloppe !
Le bâtiment accueille des services d’accompagnement pour personnes adultes, présentant une déficience intellectuelle, physique ou sensorielle à travers plusieurs services (résidentiel en chambres ou en studios, d’accueil et d’activités de jour, de soutien dans l’emploi, …).
Depuis sa création en 1971, l’infrastructure a évolué et a subi de nombreuses transformations, par l’ajout d’une multitude de matériaux hétéroclites (briques, béton, bois, ardoises, …), rendant la lecture globale du bâtiment de plus en plus compliquée au fil des années.
L’intervention a démarré par le démontage de l’ensemble des parements des façades, des menuiseries extérieures et des toitures, afin d’isoler thermiquement le bâtiment d’une part et de restructurer l’ensemble de l’enveloppe d’autre part, via la mise en place d’un parement en brique, s’intercalant entre un soubassement et une toiture en zinc.
L’usage de ces deux matériaux et l’équilibre des différentes teintes choisies (briques, zinc, châssis), s’intégrant parfaitement dans le cadre verdoyant environnant, permet de retrouver une enveloppe isolée, plus harmonieuse et homogène.
Le projet consiste en la transformation de la piscine communale de Farciennes, à l’aide de la rénovation du bâtiment existant et de la création d’une extension. Afin de respecter les contraintes urbanistiques et contextuelles du site, une attention particulière a été accordée au maintien du parc entourant le projet mais aussi à l’intégration du projet au contexte bâti. Un nouvel accès public simplifie la desserte de la piscine. Un parking voiture et vélo est aménagé autour du bâtiment. Deux espaces de dépôt de bus sont ajoutés, et afin de faciliter l’accès au bâtiment, un chemin piéton permettra de relier cet espace à l’entrée de la piscine.
Le programme de la piscine existante est complété par un bassin sportif et une zone ludique, qui comprend une zone pour les jeunes enfants ainsi qu’une zone toboggan. Un espace fitness et wellness est également mis à disposition du public afin d’élargir l’offre proposée. Tout ceci est intégré au sein d’un volume simplifié qui se veut sobre et élégant.
Finalement les équipements extérieurs sont complétés avec des fonctions sportives et ludiques, notamment par un terrain multisport, des terrains de pétanques et une table de ping-pong.
À la croisée de 2 voiries, les bâtiments pour ACTE et GREENCOM ont une bonne visibilité. L’entrée et le show-room se situe à l’angle des bureaux (à la jonction entre les 2 sociétés).
Le projet est prévu pour permettre l’extension future via le doublage des zones de production.
Le flux ont été analysés pour être simplex et efficaces : deux accès clairs et distincts, une seule zone de livraison, et trois zones de parking. Les abords ont été traités via des aménagements paysagers, avec l’entrée qui se veut accueillante et conviviale, ainsi qu’une zone de potager.
Les points d’attentions ont étés : lumière naturelle, la capacité d’extension, un bon flux des circulations, une organisation idéales des diverses fonctions, des matériaux vivants et contemporain, et une bonne visibilité.
Le temps belge et les intempéries faisant leur œuvre, l’église Saint-Antoine de Thimister nécessitait toute notre attention. Les travaux ont donc débuté par la rénovation de la toiture. Des infiltrations d’eau dégradaient peu à peu la structure et les décorations intérieures de l’église, le priorité était donc de la rendre étanche.
Une fois les renforts de charpente effectués et l’église revêtue d’une nouvelle toiture en ardoises, une deuxième phase de travaux a débuté : la restauration intérieure. Une équipe de professionnels en moulures, staffages, stucages et peinture a été chargée de remettre en valeur ces décors, dont l’exceptionnelle voûte centrale moulurée datant de 1744. Ce fut un travail passionnant, minutieux et technique qui a permis de rendre à l’église son charme d’antan avec une touche contemporaine.
Le projet consiste en la construction des bureaux, d’une salle d’exposition et d’un hall de stockage pour la société Dauvister à Ster-Francorchamps. Le bâtiment a été conçu afin de s’intégrer dans son cadre rural, et ce via l’utilisation de moellons et de matériaux sobres. Une généreuse terrasse couvre la zone de bureaux. Spécialisée en HVAC et dans les panneaux solaires, le bâtiment répond parfaitement aux besoins de cette entreprise pionnière dans son domaine et en pleine expansion.
Ce projet consiste en la construction d’un immeuble de bureaux respectant un programme précis et propre à l’utilisateur des lieux. Outre l’enjeu organisationnel, il était déterminant que ce projet s’intègre dans le contexte urbanistique et paysagé du site.
En effet, le terrain dispose d’une position stratégique dans le paysage. Fortement boisé, il présente un important dénivelé et est bordé, en contre-bas, d’un côté par l’autoroute et de l’autre par le chemin de fer. Implanté sur un point culminant, ce site permet d’avoir de larges et belles vues sur la ville de Liège.
Une attention particulière a donc été apportée à l’implantation du projet, des accès et des fonctions. Le gabarit des bâtiments, le choix des matériaux, l’orientation et l’organisation des vues, ont été étudiés tenant compte du contexte bâti et paysagé.
À l’occasion du 75e anniversaire de la bataille des Ardennes, l’ambassade des États-Unis nous a demandé, via l’American Battle Monuments Commission (ABMC), de piloter le projet de rénovation du Mardasson et de sa crypte. Au vu des délais très courts, nous avons choisi de nous associer à l’atelier KHa. Cette organisation offre un service de qualité doublé d’une expertise en matière de restauration, ce qui permet d’assurer un suivi efficace et cohérent. Les travaux visent au nettoyage complet du monument comprenant principalement des remplacements et réparations de pierres, du rejointoyage et du nettoyage. Un relevé photogrammétrie a été exécuté afin de réaliser un inventaire complet des pathologies du monument. Outre l’usure naturelle du temps ou la qualité de certains matériaux d’origine, le travail consiste également à ajuster des réparations antérieures inappropriées.
La première partie du projet concerne la démolition de la partie centrale du centre commercial existant et la conservation des entrées situées sur la Werthplatz et face à la gare.
La deuxième partie du projet réside dans la construction de 2 nouveaux volumes de logements se développant en plateaux suivant le relief de la rue Holftert.
La composition et le développement de ce projet permettent la création d’un nouvel espace central, type intérieur d’îlot. Ce nouvel espace semi-public permet la création d’une liaison piétonne, par un jeu de passerelles, escaliers et ascenseurs entre les différents plateaux qui le composent, de la Werthplatz jusqu’à la partie supérieure conservée du centre commercial et jusqu’à la gare.
La fondation Biermans – Lapôtre a désigné l’association AUPa – Bureau S. Roose et Partners – Avant-Travaux (Paris – France) pour la restauration de son immeuble classé. Le complexe héberge des logements pour 250 étudiants, ses parties administratives, culturelles et ses bords.
Le nouveau bâtiment passif comprend une aile administrative, des salles de classe réparties sur 3 étages, des ateliers et un auditorium. Au dernier étage, les deux ailes du bâtiment en forme de U sont reliées par une passerelle avec des ouvertures rondes faisant référence aux hublots des navires.
Le bâtiment est refroidi naturellement par une ventilation nocturne qui utilise la masse de béton visible du bâtiment. Une ventilation équilibrée avec récupération de chaleur est fournie et contrôlée par une détection de CO2. L’orientation (nord-sud) des salles de classe optimise l’utilisation de la chaleur solaire. La surchauffe est également empêchée par des auvents fixes sur les fenêtres des façades sud et par des écrans sur les façades est et ouest.
La destination du bâtiment (académie de musique) implique un traitement acoustique optimal que nous avons étudié en profondeur.
Nous avons également accordé une grande importance aux revêtements et ornementations d’origine pour qu’ils soient conservés et rénovés. A titre d’exemples, le marbre au sol, le parquet en chêne, les portes monumentales, les plafonds moulurés, les escaliers monumentaux et les vitraux ont bénéficié d’une réhabilitation en profondeur.
Le défi de ce projet est d’apporter, par des opérations spécifiques, un équipement moderne et complet au bâtiment d’un point de vue technique (électricité, chauffage, ventilation et sanitaire) tout en travaillant dans le plus grand respect des éléments comportant une certaine valeur patrimoniale.
L’ensemble comporte 2 volumes indépendants reliés par un auvent en béton équipé d’une passerelle, réalisant ainsi un passage surélevé et couvrant une partie de la cour de récréation.
Le premier volume comprend un hall de sports, un réfectoire avec cuisine et une salle de cours de cuisine équipée des fonctionnalités correspondantes. Le second volume comporte les fonctions administratives avec la salle des professeurs.
Les 2 niveaux supérieurs regroupent toutes les salles de classe, avec un débord par rapport au rez-de-chaussée, ménageant ainsi un espace extérieur abrité.
Le projet concerne l’extension d’une école hôtelière existante par une construction neuve passive.
La construction passive constitue une aile supplémentaire par rapport à la configuration de l’école existante, de façon à ce que la cour de récréation projetée soit fermée sur 3 côtés.
Le bâtiment comporte un socle au rez-de-chaussée, équipé de toutes les fonctions de la section hôtelière : 4 grandes cuisines et 2 cuisines d’application, plus petites, ainsi qu’un restaurant. Ce rez-de-chaussée dispose en outre d’un grand espace polyvalent servant durant la journée de réfectoire. Les étages comportent des salles de classe alternant avec des centres d’apprentissage ouverts et quelques salles de travaux pratiques.
Le 4 avril 2014, le Conseil des Ministres a donné son accord pour le lancement d’un marché de promotion de travaux pour la construction de ce nouveau complexe. Depuis lors, le projet a été revu en profondeur, en collaboration avec le SPF Justice et le SPF Intérieur, afin de répondre, d’une part, au souhait de regroupement des juridictions et, d’autre part, à l’exigence ministérielle de rationalisation des surfaces sur base des nouvelles normes édictées par la Régie des Bâtiments.
Le projet retenu se compose de deux entités : les immeubles « Justice » et « Finances », qui s’articulent autour d’une esplanade extérieure servant de lieu d’accueil. Le complexe, tout en longueur, sera articulé entre colline et fleuve. Il sera conforme aux lignes de forces en présence et de gabarit relativement bas, dans le respect du patrimoine environnant.
Le projet d’extension de l’Institut Supérieur de Musique et de Pédagogie est caractérisé par une nouvelle construction accolée à l’extension existante d’une part et, d’autre part, par le réaménagement des bureaux administratifs.
Le projet développé se matérialise sous la forme d’un signal fort qui prend place au cœur du quartier. Le bâtiment est un symbole qui souhaite rester modestement à l’échelle humaine. Un bardage en cèdre ajouré en façade représente la libre interprétation d’une portée.
Le confort acoustique intérieur des locaux de musique constitue un élément fondamental du dossier, qui implique une étude complète et exhaustive des parachèvements des différents espaces. L’ensemble des parois est dédoublé afin de permettre une isolation acoustique optimale.
Pour cette rénovation, la conservation maximale des matériaux d’origine était essentielle afin de garantir la plus grande authenticité. Nous avons veillé à remplacer les éléments trop dégradés par un matériau et une mise en œuvre identiques. Aussi, nous avons privilégié des méthodes actuelles, performantes et peu visibles pour la réparation des dégradations subies par l’édifice.
Un des enjeux du projet fut de rassembler différents pôles aux fonctions totalement différentes : un commissariat de police où la sécurité est une priorité, une mairie de quartier et une salle polyvalente utilisée à la fois par la mairie comme salle de mariage et par le centre culturel. Dans ce sens, l’isolation acoustique de la salle polyvalente par rapport aux pôles administratifs était une priorité.
Le projet se présente sous la forme d’un îlot dont la perspective principale est dirigée vers le parc urbain assurant la connexion piétonne vers le centre-ville de Namur. Le palais de justice présente la typologie représentative de l’îlot namurois, accueillant en son centre la salle des pas perdus.
Les cours de justice se développent de part et d’autre de la salle des pas perdus, vaste espace intérieur couvert par une verrière qui l’inonde de lumière, où les utilisateurs s’orientent, se croisent et s’attendent. La cour d’assises marque l’aboutissement de ce cheminement. Le long de cet axe s’organisent, sur deux niveaux, les différentes juridictions. Entre les salles d’audiences, des patios créent des puits de lumière permettant de profiter d’une lumière naturelle dans les salles.
La société Rogister Logistik SA est active dans le secteur du transport et de la logistique. Rogister Logistik, intégrée au sein de l’entreprise familiale Offergeld Logistik, est située dans le zoning industriel de Welkenraedt.
Rogister Logistik a fait appel à AUPa pour y développer, au terme de 3 phases (en 1998, 2000 et 2005), un total de 2.400m² de bureaux et de 12.000m² d’entrepôts. L’une des particularités du site a été de concevoir les abords en pavés drainants autobloquants. L’entreprise y propose des services tels que l’emballage, l’étiquetage, le reconditionnement, le montage de présentoirs de vente… et le transport pour différents types de produits.
Concevoir l’extension de bureaux et piloter la construction d’un hall de production et de stockage : c’est le double mandat reçu par AUPa de Vinventions (ex Nomacorc sa) à Thimister. Pour mettre en oeuvre ce projet, notre architecte a collaboré avec le bureau d’ingénieurs BCT. Les travaux, réalisés par les entreprises générales Van Marcke et Moury, ont été achevés en 2006.
Le projet consiste en la transformation et la réaffectation de l’ancienne bourse de commerce Place d’Armes à Namur. Ce centre de congrès moderne est destiné à accueillir des activités professionnelles, éducatives et culturelles.
L’enjeu du concours lancé en 2003 était d’ouvrir le bâtiment, auparavant fermé sur lui-même, sur son environnement immédiat pour qu’il devienne attractif, voire interactif avec la place d’Armes. La volonté était de créer une flexibilité des aménagements et équipements qui permettrait à cette infrastructure d’accueillir des assemblées nécessitant un aménagement d’espace plus spécifique.
Situé à l’entrée de Flexport City à Bierset, cet équipement dédié à la logistique a été conçu pour Montéa. Sur une parcelle de plus de 51.000m², la construction offre 18.500m² de halls en lien direct avec l’aéroport. Elle est équipée de 2.500m² de bureaux lumineux et design prêts à accueillir les logisticiens. Cette démarche souligne la poursuite de la croissance de l’aéroport de Liège.
Une réalisation de plus combinant notre savoir-faire pluridisciplinaire : extension de la zone aéroportuaire, établissement de la charte urbanistique, réalisation des voiries, création et aménagement (paysager et intérieur) des halls.
Le redéploiement immobilier du Parlement de Wallonie se poursuit avec une nouvelle Maison des parlementaires. Ce projet d’extension répond à de multiples besoins : améliorer les conditions d’accueil des citoyens (notamment les PMR) ; permettre le développement et mieux structurer l’activité parlementaire ; accroître l’utilisation des surfaces disponibles ; offrir plus d’espaces de travail aux agents du Parlement ; fournir un bâtiment à consommation d’énergie quasi nulle afin de répondre aux exigences relatives aux bâtiments publics fixées par l’Union Européenne.
Pour réaliser ce projet, des enjeux paysagers ont également dû être pris en compte : la vue sur la Meuse depuis les bureaux et les salles côté sud, boulevard Baron Huart ; la visibilité des toitures depuis la Citadelle (traitées comme une cinquième façade).
Implantée anciennement à Eupen, l’entreprise Procoplast a déménagé ses activités à l’East Belgium Park de Lontzen, dans une nouvelle infrastructure de plus de 9.500m² dédiée à la production de pièces plastiques à haute valeur ajoutée pour le secteur automobile.
Muni de 7.000m² de halls (production et stockage) et de 2.000m² de bureaux, cet ensemble se veut high-tech, à l’image de la technologie qu’il abrite. Une réalisation de plus combinant notre savoir-faire pluridisciplinaire : adaptation du plan de secteur, établissement de la charte urbanistique, conception des voiries, création et aménagement (paysager et intérieur) des halls.
Le projet consiste en la construction d’un centre de services, d’un centre d’entreprises et d’un hall relais dans la ZAE ECOLYS.
La proposition urbanistique et architecturale se présente sous la forme d’un bâtiment où les différentes activités sont clairement identifiées. La démarche architecturale qui préside et organise la composition se veut simple et expressive, dès lors que chacune des trois fonctions principales hébergées dans le bâtiment s’exprime de manière individuelle au travers d’un vocabulaire commun. Nous avons voulu donner une image attractive et dynamique à l’ensemble en marquant les bâtiments par un jeu de cadres de fenêtre de couleur vive et des volumes à la fois simples et dynamiques.
Le projet, multifonctionnel et offrant une riche mixité, consiste en la reconversion d’un ancien terrain de football. De cette manière se côtoient les habitants des immeubles à appartements, les clients du Retail et les sportifs de la salle de sport ; le tout sous l’œil amusé des enfants de la crèche ou des séniors de la résidence service. Ce brassage intergénérationnel s’installe judicieusement au sein d’un parc fortement végétalisé. Une verrière photovoltaïque offre un apport en énergie solaire à ce site, parfaitement intégré au maillage urbain theutois.
Les matériaux que nous avons sélectionnés pour réaliser ce projet s’accordent parfaitement avec l’image de pérennité et de solidité que le groupe NMC souhaite véhiculer : béton, verre, brique et bois sont des matériaux à la fois basiques et durables.
Les bureaux du HQ doivent quant à eux privilégier la rencontre entre différentes sociétés du groupe qui n’ont jamais travaillé ensemble. Pour rencontrer ces objectifs, nous avons privilégié une architecture organisée autour d’une agora.
L’expression architecturale se base sur une colonnade extérieure reflétant les fûts des arbres de la chênaie au sein de laquelle le projet se développe. Une attention particulière est accordée à l’orientation : des pare-soleil sont prévus et l’implantation du bâtiment au sein d’un bois permet de bénéficier d’un ombrage naturel.
La Régie communale autonome de Neufchâteau a chargé AUPa d’une double mission : l’étude et la construction d’un complexe sportif. Les travaux ont été confiés à la société momentanée CIT Blaton et CBL sa. La réception provisoire a eu lieu le 17 février 2016.
Le présent projet consiste en la réalisation d’un complexe sportif comprenant un volume central (vestiaires et cafétéria) et deux halls sportifs. La complexité de ce projet a été de se greffer dans un tissu existant afin d’améliorer les synergies et les connexions des nombreuses infrastructures présentes sur le terrain (un site de tennis, un parcours de golf, une plaine de jeux et un terrain de football).